Archives mensuelles : août 2015

31.08.2015 – La rencontre inespérée

11 F LK – Paris – entre mythe et réalité
Thema: Le rencontre inespérée / Paris: ville des amoureux
Kompetenzen:
1. Std. („Paris je t’aime“): La rencontre inespérée
  • Anknüpfung an HA: „Mon univers est une boîte à gants
  • Chercher une compagne pour ce monsieur
  • la rencontre inespérée
2. Std.: Paris : La ville des amoureux ?
Evernote Camera Roll 20150831 204754 Evernote Camera Roll 20150831 204755 Evernote Camera Roll 20150831 204755

Analyse des moyens stylistiques du texte « Dans le métro »

Dans le Métro
Analyse des moyens stylistiques
Le premier paragraphe du texte est très rythmé, car il y a des phrases nominales et des énumérations. L’auteur utilise aussi deux antithèses : ligne 1-2 et ligne 3-4. Une répétition du mot personne et du mot tout le monde est aussi notable dans ce premier paragraphe. Augmentant la critique de l’indifférence des gens entre eux.
Le deuxième paragraphe commence par décrire le métro avec des adjectifs inhabituels et rarement positifs. Puis il y a un drôle de monologue à la ligne 21. Ce paragraphe rend le métro bizarre.
Le troisième paragraphe lui est une personnalisation du métro. Il devient un personnage à part entière de l’histoire.

William Bayiha

Analyse de moyens stylistique

Le texte « dans le métro » de Véronique Olmi (1998) traite le métro et les gens dans le métro.

L’auteure usage une antithèse.  » Personne ne se regarde. Tout le monde se voit.  » ( l.1,2 ) Elle veut dire que personne ne les perçoit. Elle decrit les trucs dans le métro et les emotions.

Avec la repetition « Des gens. Assis. Debout » (l.2-3)(l.28) elle veut isister que c’est monotone. « Toujours le même. » (L.28)

 

Examen des moyens stilistiques du texte <> (lignes 28-33)

Le texte <> ,écrit en 1998 par Véronique Olmi traite du comportement des gens dans le métro et le du métro même.
L’épisode du métro commence avec une personnification. <> (l. 28). Ca nous donne l’impression que le métro est un naturel sans-coeur. En outre, on peut croire que le métro est la raison pour les ténèbres des gens. Cette personnification se prolonge jusqu’à la fin du texte. Après il y a des ellipses avec une syntaxe paratactique. En lisant ces phrases, on sent vraiment la monotonie et la tristesse du travail de métro. <> (l.28)
L’hyperbole <> (l.30) nous fait réfléchir sur la destinée des autres passagers, dont on a raté de faire la connaissance, seulement à cause de cette « société métro ».
Surtout la métaphore <> (l.31-32) est une périphrase pour le monde extérieur alors pour la vie quotidienne qui reste dehors si on entre le métro.Enfin, le texte se termine avec l’itération <<s’échappe… s’échappe… s’échappe>> (l.33) C’est comme un écho désespéré ou plutôt comme une soulignage d’ouvrage.

Analyse des moyens stylistiques <> (personnes)

Dans le texte <<Dans le métro>> de 1998 l’auteure Véronique Olmi utilise beaucoup des moyens stylistiques pour decrire l’ambiance dans les métros français. Elle décrit aussi la relation des personnes qui utilisent les métros journellement.

 

Au début, l’auteure commonce avec une antithèse <<Personne ne se regarde. Tout le monde se voit.>> (l. 1-2). En utilisant cet antithèse, elle veut soulinge que chaque personne se sent seul et que n’importe qui prend le métro ne s’interesse pas pour les autres.

En usant des phrases paratactique, on a l’impression que les personnes dans le métro sont toujours trés stressants et n’ont pas de temps pour quelques conversations (c.f. l. 3-7).

L’enumeration dans le ligne huit de onze (<< entre les banquettes, les portières, les barres de fer, les paquets, les voyageurs, les plastiques, les valises, les paniers …>>) symbolise que le métro est tout le temps trop bondé.

La répétition << Des gens. Assis. Toujours les mêmes.>> (l. 2-3 et 28) met en évidence qu’il y a toujours les personnes mêmes au quotidien.

Analyse des moyens stylistiques

Dans le texte «Dans le métro» Véronique Olmi décrit l’atmosphère dans le métro et la relation entre les gens qui prennent le métro. L’auteure fait ça en utilisant des moyens stylistiques.

Au début, elle se sert de l’ antithèse «Personne ne se regarde. Tout le monde se voit.» (l. 1,2) pour souligner que les personnes dans le métro ne s’intéressent des autres et que chaque personne est seule bien que le métro soit plein.

Puis l’ auteure utilise une autre antithèse dont la signification ressemble à la signification de la première antithèse. La phrase «Le métro est bruyant et muet» (l. 21) montre que d’ une part il y a des bruits dans le métro, comme le signal sonore des portes ou le parler des bavards, mais d’ autre part il est muet parce que les voyageurs ne communiquent pas entre eux.

En outre, au lieu de seulement dire qu’ il y a peu d’ espace elle emploie l’ énumération «entre les banquettes, les portières, les barres de fer, les paquets, les voyageurs, les plastiques, les valises, les paniers» (l. 8-11) pour expliciter qu’ il y a des gens partout.

Analyse des moyenes stylistiques du métro (personnes)

Le texte « Dans le métro » décrit la situation des métros à Paris et les personnes qui les utilisent. L’auteure emploie des moyens stylistiques qui produissent des sentiments pareils à ceux dans le métro, en voyageant. Par exemple, les phrases courtes et la parataxe simple soulignent la monotonie et l’indifférence des gens.

Elle fait usage des antithèses comme « personne ne se regarde. Tout le monde se voit », l. 1-2, ou « Le métro est bruyant et muet », l.21, pour exprimer que les voyageurs se comportent bizarrement. Les gens ne s’interessent pas pour les autres, c’est pourquoi ils ne les regardent pas, mais comme tout le monde se trouve dans le métro on est forcé de voir chaque personne. De même, personne ne veut parler ou déranger les autres, tandis que parfois les gens parlent fortement et le métro devient bruyant. Ces choses se passent autant souvent que l’auteure les met au même niveau.

Les ellipses et répetitions accentuent que ces descriptions des gens sont une observation commune et que l’image au sein des wagons est  toujour la même et pleine de l’ennui. (« Toujour les mêmes. Des gens. Assis. Debout », l.2-4, « Des gens. Assis. Debout. Toujour les mêmes. », l. 28)

En ligne 7, l’auteure soutient que tout le monde se gêne et àpres suive une énumération des choses qui prennent beaucoup d’espace, lorsqu’on est debout, parmi les gens ou leurs objets de valeur, pour mettre en relief leur diversité et quantité.

Près de la fin del’épisode, elle décrit les gens spécifiquement en les classifiant. Elle utilise aussi des antithèses pour faire le suivant: « les bavards ne s’y entendent pas, les origineux y sont sans surprise, les extravagants désabusés, la pauvreté banale (…) », l. 21-23. Ces opposés montrent que, quand on est dans le métro, n’importe pas qui on soit, on devient quelqu’un différent et aussi monotone que la machine même.

Analyse des moyens stylistiques: le métro

Le texte <<Dans le métro>> d´auteur Véronique Olmi traite le sujet d´atmosphère dans le métro parisien.

L´auteur a utilisé des phrases courtes, des ellipses et pas beaucoup d´adjectives pour décrire les personnes.
En général le texte est écrit dans une manière familière. L´auteur parle du vêtements des gens differentes et elle décrit les gens précisément. (l. 23-26)

Elle présente l´atmosphère comme négative et que les gens sont tout près l´un de l´autre et qu´ils se restreignent.
L´auteur personnifie le métro et elle a accentué la monotonie et l´indifférence des gens et même du métro. (l. 28)

Puis elle décrit l´intérieur du métro; du saleté, du traces des cigarettes et du tatouages au skaï.

A la fin elle a utilisé des ellipses pour personnifier le métro et pour exprimer l´opinion du métro; il s´en fou, comme les gens
qu´il transporte chaque jour.