Le texte « Dans le métro » décrit la situation des métros à Paris et les personnes qui les utilisent. L’auteure emploie des moyens stylistiques qui produissent des sentiments pareils à ceux dans le métro, en voyageant. Par exemple, les phrases courtes et la parataxe simple soulignent la monotonie et l’indifférence des gens.
Elle fait usage des antithèses comme « personne ne se regarde. Tout le monde se voit », l. 1-2, ou « Le métro est bruyant et muet », l.21, pour exprimer que les voyageurs se comportent bizarrement. Les gens ne s’interessent pas pour les autres, c’est pourquoi ils ne les regardent pas, mais comme tout le monde se trouve dans le métro on est forcé de voir chaque personne. De même, personne ne veut parler ou déranger les autres, tandis que parfois les gens parlent fortement et le métro devient bruyant. Ces choses se passent autant souvent que l’auteure les met au même niveau.
Les ellipses et répetitions accentuent que ces descriptions des gens sont une observation commune et que l’image au sein des wagons est toujour la même et pleine de l’ennui. (« Toujour les mêmes. Des gens. Assis. Debout », l.2-4, « Des gens. Assis. Debout. Toujour les mêmes. », l. 28)
En ligne 7, l’auteure soutient que tout le monde se gêne et àpres suive une énumération des choses qui prennent beaucoup d’espace, lorsqu’on est debout, parmi les gens ou leurs objets de valeur, pour mettre en relief leur diversité et quantité.
Près de la fin del’épisode, elle décrit les gens spécifiquement en les classifiant. Elle utilise aussi des antithèses pour faire le suivant: « les bavards ne s’y entendent pas, les origineux y sont sans surprise, les extravagants désabusés, la pauvreté banale (…) », l. 21-23. Ces opposés montrent que, quand on est dans le métro, n’importe pas qui on soit, on devient quelqu’un différent et aussi monotone que la machine même.