Le texte „Silence, on irradie“ de Christophe Léon écrit en 2009 et publié dans l’Editions Thierry Magnier traite de la situation après un accident nucléaire en Nobyl. Nobyl est une ville fictive du roman.

La vie d’un jeune médecin qui s’appelle Yougor est en train de changer quand il regarde les nouvelles dans le télévision un soir. Le présentateur des nouvelles mentionne qu’il y a un accident nucléaire.

Il retourne directement à son travail. Être en route vers son travail il pense aux différents cas de cancer et quand Yougor arrive à l’hôptial il passe sept jours là à soigner les blessés.

Après il n’appris plus des nouvelles de l’accident sur le télévision.

Il remarque aussi que tous les médecins sont remplacés par des médecins militaires.

Tous les personnes qui ont survives l’accident et les habitants des alentours sont déplacés dans un autre hôpital car l’état décide de former une périmètre de sécurité autour de la Centrale.

Le militaire contrôlle les gens de ne pas donner des informations de la situation à l’hôpital au publicité et les récalcitrants sont déplacés dans un pénitencier.

L’extrait de la fiction <<Silence, on irradie!>> de Christophe Léon, publiée en 2009, parle de la situation et d’un médecin, Yougor, qui travaille trop après un accident d’une centrale nucléaire.

Au début, Yougor se trouve devant la télé et il voit une émission du journal télévisé du soir. Dans cette émission Yougor apprend qu’il y avait une accident d’une centrale nucléaire près de la ville ou Yougor vive. Le presentateur des nouvelles dit que la raison pour l’accident est un tremblement de terre et que tout est sous contrôle. Après, Yougor doit aller à l’hôpital, ou est le chaos, pour travailler. Puis sept jours il rentre et il est très fatigué. Ce la raison pour laquelle Yougor apprend après huit jours que la dimension de l’accident à la Centrale surpasse des attentes. Ensuite, l’auteur décrit la situation dans l’hôpital, ou la capitale et les médecins militaires prennent la parole. Aussi dans les alentours le militaire fait des changements, les habitants croient: il construit une zone de sécurité de trente kilomètres autour de la centrale et il ferme l’accès des routes. Les habitants seulement apprennent des rumeurs parce que l’armée emprisonne les gens qui disent la vérité par l’incident à la Centrale.

Ce matin, il y a eu une grande catastrophe nucleaire à Nardyl. Après des tremblements de terre, la centrale nucleaire a un accident grave. C’est une situation extraordinaire à Nardyl: les hôpitaux sont bondés. Les médécins s’occuppent massivement des victimes. Certains avec des blessures petites, certains avec des blessures plus graves. On conseille de garder les portes et les fenêtres fermées.

Comme si sela ne suffisait pas, il y a des rumeurs sur le militaire comme ils bloquent les routes et controllent les gens, mais ces rumeurs sont faites par des patiens avant qu’on leur ordonne de la boucler. Les récalcitrants furent expédiés dans un autre hôpital. Un pénitencier, insinuait-on, mais c’est juste un autre rumeur qui est distribué sans fin. Le gouvernement ne parvient pas d’arrêter cette diffusion de la propagande.

Le gouvernement demande de l’aide de bénévoles pour éliminer une grande partie des dégâts.