Le texte « Bienvenue à Boboland ! » a été publié sur la site internet du Front National le 09.11.2006. Le sujet principal est de dévoiler l’incompétence du maire de Paris Bertrand Delanoe et le « fait » qu’il s’occupe seulement des Bobos et ses semblables sans respecter les vrais problèmes comme le chômage etc.
Premièrement, l’auteur dit que Delanoe a un faible pour des événements festifs. Mais ces événements sont prétendument culturel parce que avec cette stratégie, lui et ses complices de la PS-PC, les Verts et les Gauches sont tous incapable de lutter les vrais problèmes sociaux comme le logement…
En outre, l’auteur présente l’idéologie de Delanoe en forme suivante : Paris doit devenir une place réservée pour les immigrés extra-européens et la bourgeoisie de gauche.
Par ailleurs, c’est dénoncé au texte que les arrondissements les plus favorisés se vident des familles francaises pour attirer la population étranger.
Finalement, Delanoe dépense de millions d’euros pour des nouveaux noms des rues ou la promotion pour des communautarismes sans avoir demandé les Parisiens ou des associations.
Archives de l’auteur : Tobias Schlangen
Présentation sur la pêche au Sénégal
Examen des moyens stilistiques du texte <> (lignes 28-33)
Le texte <> ,écrit en 1998 par Véronique Olmi traite du comportement des gens dans le métro et le du métro même.
L’épisode du métro commence avec une personnification. <> (l. 28). Ca nous donne l’impression que le métro est un naturel sans-coeur. En outre, on peut croire que le métro est la raison pour les ténèbres des gens. Cette personnification se prolonge jusqu’à la fin du texte. Après il y a des ellipses avec une syntaxe paratactique. En lisant ces phrases, on sent vraiment la monotonie et la tristesse du travail de métro. <> (l.28)
L’hyperbole <> (l.30) nous fait réfléchir sur la destinée des autres passagers, dont on a raté de faire la connaissance, seulement à cause de cette « société métro ».
Surtout la métaphore <> (l.31-32) est une périphrase pour le monde extérieur alors pour la vie quotidienne qui reste dehors si on entre le métro.Enfin, le texte se termine avec l’itération <<s’échappe… s’échappe… s’échappe>> (l.33) C’est comme un écho désespéré ou plutôt comme une soulignage d’ouvrage.