Archives de l’auteur : Olga Lesiewicz

Résumé de « Les enfants de l’été »

Le roman intitulé « Les enfants de l’été », écrit par Robert Sabatier en 1978, raconte l’histoire de l’écrivain parisien nommé « L’Escrivain » qui passe ses vacances d’été dans la Provence. Un vieil artisan, Siffrein, et sa famille vivent aussi dans cette région.

L’extrait analysé montre une conversation entre les deux artistes et Alain, un enfant. En buvant du vin, l’Escrivain raconte sa journée: il a planté des cyprès, il a lu les journaux, il a fait les courses, il a goûté du vin et finalement il a fait une sieste au-dessous d’un figuier.

Les deux hommes se plaignent dans une manière philosophique de la politique et du manque du respect pour la nature des gens. Notamment, l’Escrivain n’est pas content avec le cours d’événements actuel, parce qu’il préfère une vie alternative comme dans la Provence. Sifrain donne des réponses et des commentaires courts.

Après la conversation, l’Escrivain prise et Siffrain fait une remarque sur la relation du tabac avec les écrivains parisiens. Alain ajoute que l’utilisation du tabac est dangereux pour les bois et l’Ecrivain explique qu’il prise pour éviter des incendies de forêts.

Résumé « Bienvenue à Boboland! »

Le texte « Bienvenue à Boboland » se trouve sur le site du parti « Front National » (« fnparis.com/boboland.htm« ), est publié en 2006 et s’adresse aux gens qui s’intéressent pour la politique et la situation de Paris pendant la mairie de Bertrand Delanoe.

L’auteur fait des reproches suivants: À Paris, il y a maintenant une concentration des évènements culturels et festifs qui montrent une ville diversifiée. Cependant, cette apparence cache une réalité différente. Problèmes comme le logement, le chômage et l’insécurité du citoyen moyen ne sont pas organisés et perdent de l’importance en face de la mutation sociologique.

De plus, il affirme que le maire essaie de créer une ville exclusive pour les aisés, les bobos et les immigrés extra-européens. En conséquence, des familles françaises ne peuvent pas payer les loyers et sortent de la ville. En même temps, il soutient, le maire ne s’occupe que pour les gens d’origine étrangère et les quartiers où ils habitent.

Ensuite, il y a aussi un problème avec les automobilistes parce que les projets d’une construction des parkings ne font pas partie de la politique urbaine. Au lieu de cela, le cyclistes sont supportés. L’auteur souligne que cela est une difficulté pour les travailleurs qui conduisent à Paris.

Enfin, il résume que le maire dilapide l’argent au lieu de se focaliser aux problèmes parisiennes comme le chômage ou la saleté des rues.

Analyse des moyenes stylistiques du métro (personnes)

Le texte « Dans le métro » décrit la situation des métros à Paris et les personnes qui les utilisent. L’auteure emploie des moyens stylistiques qui produissent des sentiments pareils à ceux dans le métro, en voyageant. Par exemple, les phrases courtes et la parataxe simple soulignent la monotonie et l’indifférence des gens.

Elle fait usage des antithèses comme « personne ne se regarde. Tout le monde se voit », l. 1-2, ou « Le métro est bruyant et muet », l.21, pour exprimer que les voyageurs se comportent bizarrement. Les gens ne s’interessent pas pour les autres, c’est pourquoi ils ne les regardent pas, mais comme tout le monde se trouve dans le métro on est forcé de voir chaque personne. De même, personne ne veut parler ou déranger les autres, tandis que parfois les gens parlent fortement et le métro devient bruyant. Ces choses se passent autant souvent que l’auteure les met au même niveau.

Les ellipses et répetitions accentuent que ces descriptions des gens sont une observation commune et que l’image au sein des wagons est  toujour la même et pleine de l’ennui. (« Toujour les mêmes. Des gens. Assis. Debout », l.2-4, « Des gens. Assis. Debout. Toujour les mêmes. », l. 28)

En ligne 7, l’auteure soutient que tout le monde se gêne et àpres suive une énumération des choses qui prennent beaucoup d’espace, lorsqu’on est debout, parmi les gens ou leurs objets de valeur, pour mettre en relief leur diversité et quantité.

Près de la fin del’épisode, elle décrit les gens spécifiquement en les classifiant. Elle utilise aussi des antithèses pour faire le suivant: « les bavards ne s’y entendent pas, les origineux y sont sans surprise, les extravagants désabusés, la pauvreté banale (…) », l. 21-23. Ces opposés montrent que, quand on est dans le métro, n’importe pas qui on soit, on devient quelqu’un différent et aussi monotone que la machine même.