Archives de l’auteur : Caroline von Andrian

Commentaire

J’ai lu l’article 《Bienvenue à Boboland!》sur votre site et je me suis étonnée de la façon  dont vous décrivez Paris et les conséquences de la politique du maire Bertrand Delanoë. Je ne partage pas du tout votre opinion.

D’abord, je suis de l’avis que les événements  comme la Gay-pride, la Technoparade ou les festivals sont un aspect nouveau qui attire les touristes et aussi des nouvelles groupes de visiteurs. Ça contribue naturellement aussi à l’économie de la ville. En plus, ces événements montrent que Paris est une ville moderne et ouverte à la culture.

Puis, je voudrais souligner que les immigrés et les étrangers vivant à Paris ne contribuent à une 《transformation radicale de la première ville de France》. Au contraire, notre ville est toujours connue pour sa diversité culturelle et sociale et à mon avis votre façon de décrire la situation et de parler défavorablement des minorités va changer la ville et crée la division et la haine.

Finalement, je veux répéter que Paris est une ville caractérisé par la diversité et la politique de Bertrand Delanoë soutient ce trait de caractère.

Résumé « Bienvenue à Boboland! »

Le texte « Bienvenue à Boboland! » a été publié sur le site du Front National en 2006. L’auteur critique le maire de Paris de l’époque, Bertrand Delanoë, son attitude et sa politique.

D’abord, l’auteur énumère plusieurs événements culturels que le maire a organisé à Paris, comme la Gay-pride et des festivals de la BD, de cinéma ou de la musique. Il reproche à Delanoë de cacher qu’il n’est pas capable de résoudre les problèmes de la ville comme le logement, le chômage et l’insécurité.

Puis, il critique aussi que Delanoë favorise un changement social à Paris en accueillant beaucoup d’immigrants et en réservant la ville aux aisés et aux « bobos ». Selon le texte, le maire oblige les familles françaises à quitter Paris pour faire place pour les immigrants et pour familles d’origine étrangère.

D’après le Front National, les décisions du maire au profit des aisés ou au profit des « bobos » ont des conséquences catastrophiques, par exemple la décision d’installer des zones piétonnes en centre-ville a nui le petit commerce.
En plus, l’auteur critique que Delanoë dépense les impôts pour projets inutiles comme les pistes cyclables.

Finalement, le texte souligne de nouveau le reproche que le maire parisien n’agit que pour les intérêts de soi-même, des aisés et des « bobos » et qu’il ne se soucie des problèmes qui concernent la ville comme le chômage, l’insécurité et la saleté des rues.

Stratégies: Médiation

  • trouver l’idée centrale (Attention, qu’est-ce qu’ils veulent que vous fassiez?!)
  • résumer brièvement (!) les exemples
  • pas de traduction exacte! (ne pas chercher les mots « exotiques » dans le dictionnaire)
  • bien distinguer entre l’essentiel et les choses moins importantes
  • identifier les mots-clés [en cas de difficultés établir des champs lexicaux]

Analyse des moyens stylistiques

Dans le texte «Dans le métro» Véronique Olmi décrit l’atmosphère dans le métro et la relation entre les gens qui prennent le métro. L’auteure fait ça en utilisant des moyens stylistiques.

Au début, elle se sert de l’ antithèse «Personne ne se regarde. Tout le monde se voit.» (l. 1,2) pour souligner que les personnes dans le métro ne s’intéressent des autres et que chaque personne est seule bien que le métro soit plein.

Puis l’ auteure utilise une autre antithèse dont la signification ressemble à la signification de la première antithèse. La phrase «Le métro est bruyant et muet» (l. 21) montre que d’ une part il y a des bruits dans le métro, comme le signal sonore des portes ou le parler des bavards, mais d’ autre part il est muet parce que les voyageurs ne communiquent pas entre eux.

En outre, au lieu de seulement dire qu’ il y a peu d’ espace elle emploie l’ énumération «entre les banquettes, les portières, les barres de fer, les paquets, les voyageurs, les plastiques, les valises, les paniers» (l. 8-11) pour expliciter qu’ il y a des gens partout.