Dans le texte <<Dans le métro>> de 1998 l’auteure Véronique Olmi utilise beaucoup des moyens stylistiques pour decrire l’ambiance dans les métros français. Elle décrit aussi la relation des personnes qui utilisent les métros journellement.
Au début, l’auteure commonce avec une antithèse <<Personne ne se regarde. Tout le monde se voit.>> (l. 1-2). En utilisant cet antithèse, elle veut soulinge que chaque personne se sent seul et que n’importe qui prend le métro ne s’interesse pas pour les autres.
En usant des phrases paratactique, on a l’impression que les personnes dans le métro sont toujours trés stressants et n’ont pas de temps pour quelques conversations (c.f. l. 3-7).
L’enumeration dans le ligne huit de onze (<< entre les banquettes, les portières, les barres de fer, les paquets, les voyageurs, les plastiques, les valises, les paniers …>>) symbolise que le métro est tout le temps trop bondé.
La répétition << Des gens. Assis. Toujours les mêmes.>> (l. 2-3 et 28) met en évidence qu’il y a toujours les personnes mêmes au quotidien.