Le texte <<Dans le métro>> écrit par Véronique Olmi en 1998 explique la situation générale dans le métro. Il y a quelques moyens stylistiques, qui illustrent l’atmosphère.
L’énumeration à la ligne 7 à 11: <<Tout le monde se gêne: entre les banquettes, les portières, les barres de fer, les paquets, les voyageurs […].>> , montre qu’il y a seulement peu d’espace pour les gens, qui ont beaucoup de choses avec eux.
Puis, avec l’antithèse: << Le mètro est bruyant et muet.>> (l.21), Véronique Olmi met en évidence qu’il y a deux côtés différents dans le métro. D’un part c’est bruyant à cause du bruit machinal et des portes qui se ouvrent et se ferment dans le stations, mais d’autre part il y a le silence, parce que les voyageurs ignorent les autres et ne parlent pas. Cette antithèse souligne l’indifference des gens.
La personnification: <<Le métro, lui, s’en fout.>> (l.28), est comparable avec le comportement des gens. Cette personnification crée une mauvaise ambiance et montre la monotonie de la vie quotidienne.
Pour résumer on peut affirmer, que l’auteur a utilisé les moyens stylistiques pour illustre l’ennui dans la vie des gens. Ce texte rend le lecteur une mauvaise impression sur les gens et l’atmosphère dans le métro.