Analyse des moyens stylistiques

Le texte <<Dans le métro>> de Véronique Olmi s’occupe de la situation entre les personnes qui prennent le métro tous les jours.

Le texte commence avec une antithèse, <<Personnes ne se regarde. Tout le monde se voit.>> qui montre que les gens ne sont pas vraiment intéressé aux autres et que c’est très enuyant de voir toujours les mêmes. Elle mentionne souvent que personne ne se regarde (ligne six à sette) et qu’il n’y a pas beaucoup d’espace et que tous sont énervés des autres, <<-personnes ne se regarde. Tout le monde se gêne>> en ligne sette. Entre ligne vingt et un et vingt-sept elle décrit les personnages assis dans le métro. Il y a des personnes diverses; les originaux, les extravagants et les pauvres. Alors les pauvres doivent montrer le problème des parisiens dans le métro et à Paris. Personne ne les regarde et personne ne les aide mais tous les monde ne veut pas qu’il y a quelque gens. À la fin elle repete <<Toujours les mêmes.>>, comme c’est écrit au debut à ligne deux et trois, pour montre que c’est très monotone. Et au cause de la repetition <<…s’échappe… s’échappe… s’échappe…>> à la ligne trente-trois les lecteures vont échappé la situation gênée aussi très rapidement!

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