Archives de l’auteur : Anna-Lena Becker

Café théâtre: texte familier

Dans le métro, y a deux gars. Y ont bu (des cannettes de coca) du coca/avalé un coca. Après y les laissent tomber et font des conneries/foutent le bordel. Ca fait du bruit ! Une vieille meuf/nana est vachement énervée/venère. Mais les deux gars s’enfichent royalement/de ouf. Chais pas, c’est zarbi/chelou !

À la prochaine station, les deux gars foutent le camp.

analyse l’image de la Provence

À propos de l’analyse de l’image de la Provence donnée par le protagoniste, on peut constater que c’est une image plutôt idyllique presque exclusivement positive.

Cette image est dessinée par les énumérations des produits culinaires du terroir « un bon canard à Sablet, du jambon et du fricandeau à Malaucène, de l’huile d’olive à Beaume-de-Venise… » (l.21-22). Cette énumération rappelle à l’image présentée dans la chanson « Les marchés de Provence » de Gilbert Bécaud ou la diversité et le choix qu’on peut y trouver est souligné. De plus, le plaisir et le gourmand sont mis en relief : « sa bouche gourmande » (l.1). Un autre aspect supportant cette image est la belle nature en grande partie intouchée : « notre terre est belle et bonne » (l.9). Les viticulteurs qui présentent un partie importante de la Provence sont caractérisés comme conviviaux et généreux : « Les vignerons sont accueillants et ne plaignent pas la rouge boisson. ». Le protagoniste lui-même est présenté comme ayant une bonne connaissance du savoir-vivre et aussi le réaliser: « j’ai fais la sieste sous un figuier » (l.28).

On peut constater alors que la Provence est caractérisée d’un côté comme une région de vacances où l’on peut facilement oublier les soucis du quotidien en s’impliquant à l’aisance qui prédomine là-bas. D’un autre côté comme une région qui souffre des plusieurs problèmes comme des feux à la Lègue et aux hauteurs de Beaumes (l.41). La plantation des arbres sert de mesure pour préserver la nature idyllique. Il y a aussi le stationnement d’une fusée (l.10-11) qui est une menace pour l’idylle. Donc le monde semble de ne pas tourner « tout à fait rond » (l.8).

Pour résumer, l’image dessinée de la Provence est ambivalente.

Commentaire « Bienvenue à Boboland! »

Mesdames, Messieurs, membres du Front National,

dans le texte « Bienvenue à Boboland ! » vous avez clairement dit votre avis à propos du maire actuel et de la politique de celui-ci.

D’abord vous critiquez la multitude des événements festifs et apparemment aussi culturels. Vous avez tort de penser que ces événements ne sont pas vraiment culturels. Vous prétendez qu’ils cachaient les défis urgents de Paris comme le logement et le chômage. Au contraire, ces jours de fêtes sont exclusivement pour la culture et la société et le plus important est qu’ils démontrent indirectement une autre partie des problèmes de Paris comme par exemple l’acceptation diminuée des homosexuels. De plus, vous n’avez pas considérés que tels festivals soient énormément bons pour l’économie et ils attirent aussi les touristes du monde entier, car il présente Paris comme une ville sensible et aussi cosmopolite.

Selon vous, la plupart des politiciens ayant un avis très gauche agissent d’une façon chaotique. En même temps, les élus de PS-PC et Verts ne seront pas en mesure d’identifier les vrais problèmes. En contraste avec telles reproches, vous ne semblez pas avoir compris la complexité des enjeux que vous énumérez. Le problème du logement par exemple est, je suis d’accord avec vous ici, pas du tout facile à résoudre, mais on commence a résoudre cette difficulté en bâtant des logements sociaux,  aussi connus sur l’abréviation HLM.

De plus, le comportement sectaire du maire était critiqué et vous l’avez exemplifié avec des mesures prises d’une part pour les aider et d’autre part pour les nommer bobos. À propos de ça je ne sais pas si vous vous rendez compte mais ce n’est pas le maire, mais vous qui catégorisez les hommes dans différents domaines. C’est vrai qu’il y a des aides financières pour les Français d’origines différentes mais ce sont aussi ceux qui en ont le plus besoin. En même temps, je vous assure qu’il reste encore assez de place pour les « familles françaises » comme vous les appelez ironiquement, parce que les « populations d’origine étrangère » ont aussi pour la plupart un passeport français.

D’après votre texte la réduction des parkings avec l’expansion des pistes cyclables rendent le chemin au travail très difficile pour les gens venant de la banlieue. En contraste avec ça, je vous assure que la plupart des banlieusards ont, soit pas de voiture et par conséquent pas de désavantage, ou, soit pas assez d’argent pour s’acheter un ticket de train régulièrement.

Pour résumer mon avis, je suis convaincu que la politique de notre maire Bertrand Delanoë ne mène pas à « une transformation radicale » (qui va dans une direction complètement négative comme vous l’expliquez) mais à une amélioration à tous les niveaux.

J’espère que vous prendrez quelques minutes pour penser à mes mots.

Cordialement,

Anna-Lena Becker

Résumé « Bienvenue à Boboland! »

Le texte « Bienvenue à Boboland ! » du site de la partie droite de France « Front National » est une critique à la politique de Bertrand Delanoë, qui était le maire de Paris en 2006.

Plusieurs reproches sont faits à ce dernier, comme premièrement la multitude des événements festifs et apparemment aussi culturels qui dissimulent le fait qu’il y a beaucoup de défis urgents. Deuxièmement, c’est critiqué par la plupart des politiciens, qui ont un avis très gauche et agissent d’une façon chaotique. En même temps, à propos des élus de PS-PC et Verts une incapacité de voir les choses en face est constatée. Le maire est accusé de se comporter d’une manière sectaire et de vouloir transformer Paris complètement.

Troisièmement, le Front National critique le fait que des mesures suspenseur/financier sont prises exclusivement pour les immigrants, et pour les bobos mais pas pour les citoyens d’origine française souffrant de cette sorte de mesures.

La réduction de parkings avec l’expansion des pistes cyclables rendent le chemin au centre du Paris difficile pour les gens de la banlieue et cette décision présente un avantage pour les bobos.

Enfin, le maire est accusé de ne pas se mettre en d’accord avec les citoyens à propos de telles décisions et d’oublier les vrais problèmes concernant surtout la vie sociale à Paris.

Analyse des moyens stylistiques

En analysant les moyens stylistiques qui sont utilisés pour décrire les relations sociales, on trouve beaucoup d’exemples dans le texte « Dans le métro » de Veronique Olmi. Le texte commence par une antithèse « Personne ne se regarde. Tout le monde se voit. » qui donne l’exemple de l’indifférence des gens et on peut voir que les gens ne sont pas intéressé par les autres. Dans la ligne 18 il y a une métaphore « tatouages usés » qui décrit plus exactement l’état du skaï. En plus cette métaphore produit une image du skaï dans la tête du lecteur. Dans la phrase « Le métro est bruyant et muet » on peut aussi constater une antithèse qui s’occupe du volume dans le métro. D’un côté il y a du bruit : les gens qui descendent, les gens qui montent, les gens qui parlent, mais d’un autre côté c’est très muet parce que personne ne parle avec quelqu’un d’autre. Cette antithèse souligne encore l’indifférence des gens dans le métro.
Pour résumer il y a plein de moyens stylistiques qui décrivent les relations sociales dans le métro.