Dans le texte <<Dans le métro>> l’auteur Véronique Olmi décrit l’atmosphère dans le métro.
Le texte commence avec la phrase: <<Personne ne se regarde.>> (l.1). Cette phrase se répète quelques lignes plus tard pour souligner que tout le monde est seul. La deuxième phrase est: <<Tout le monde se voit.>> (l.-2). Les deux premières phrases sont une antithèse avec laquelle l’auteur montre que c’est bizarre qu’il y a beaucoup de gens mais qu’il ne parlent pas ensemble. Elle souligne cette curiosité en écrivant que ces gens sont <<(t)oujours les mêmes.>> (l.2-3). Olmi fait une grande énumération comment les gens se gênent (l. 8-11) pour mettre en évidence qu’ils se connaissent par voir, qu’ils se ne parlent pas mais qu’ils se gênent malgré tout dans le métro. L’atmosphère entre les gens n’est pas très sympa.
Véronique Olmi écrit sur des gens dans le métro et mentionne qu’il y a une <<pauvreté banale>> (l.22-23). Elle décrit les pauvres personnes de sorte qu’on commence à avoir l’impression qu’ils sont coupables pour l’atmosphère dans le métro. En finissant la déscription des pauvres par la phrase. <<Non, la pauvreté n’est pas éclatante>> (l.26-27) l’auteur met en évidence que pas seulement les pauvres mais tout le monde se comporte bizarrement.
Analyse des moyens stylistiques: les personnes
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