Archives de l’auteur : Alvar Rapp

Pas lieu de s’inquiéter!

L’extrait du roman « Silence, on irradie! » écrit par Christophe Léon en 2009 parle des réactions de Yougor, un médecin, à l’incident d’une centrale nucléaire qui est près de Nardyl où il travaille.

Un soir, Yougor voit à la télévision qu’il y a eu un incident à la centrale nucléaire quelques heures plus tôt. Il pense aux blessés et va directement à l’hôpital. Yougor y travaille pendant sept jours presque sans dormir.

Après ces jours, il n’y a plus d’informations sur l’incident dans les médias. Les habitants des alentours dévaient quitter la région et les docteurs avaient été remplacés par des médecins militaires. En plus, les médecins et les blessés sont forcés de ne pas parler de l’incident.

 

Analyse des moyens stylistiques: les personnes

Dans le texte <<Dans le métro>> l’auteur Véronique Olmi décrit l’atmosphère dans le métro.
Le texte commence avec la phrase: <<Personne ne se regarde.>> (l.1). Cette phrase se répète quelques lignes plus tard pour souligner que tout le monde est seul. La deuxième phrase est: <<Tout le monde se voit.>> (l.-2). Les deux premières phrases sont une antithèse avec laquelle l’auteur montre que c’est bizarre qu’il y a beaucoup de gens mais qu’il ne parlent pas ensemble. Elle souligne cette curiosité en écrivant que ces gens sont <<(t)oujours les mêmes.>> (l.2-3). Olmi fait une grande énumération comment les gens se gênent (l. 8-11) pour mettre en évidence qu’ils se connaissent par voir, qu’ils se ne parlent pas mais qu’ils se gênent malgré tout dans le métro. L’atmosphère entre les gens n’est pas très sympa.
Véronique Olmi écrit sur des gens dans le métro et mentionne qu’il y a une <<pauvreté banale>> (l.22-23). Elle décrit les pauvres personnes de sorte qu’on commence à avoir l’impression qu’ils sont coupables pour l’atmosphère dans le métro. En finissant la déscription des pauvres par la phrase. <<Non, la pauvreté n’est pas éclatante>> (l.26-27) l’auteur met en évidence que pas seulement les pauvres mais tout le monde se comporte bizarrement.