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l’analyse-l’image der la Provence

Dans l’extrait du roman <> de Robert Schaefer publié en 1978 il y a une image de la Provence qui est très idyllique.

Le protagoniste, l’Escrivain, parle d'<> (ll. 21-22). L’impression der la Provence est soulignée de cette énumération qui fait penser à l’impression donnée dans la chanson <>de Gilbert Bécaud.
En outre, l’auteur décrit la <> (l.1) de l’Escrivain. Alors il y a un mise du gourmand et du délice.
Un autre aspect qui souligne l’image est la nature de la Provence. L’Escrivain dit que <> (l.9), il décrit les plateaus (l.10) et il raconte des plants des vignes. À cette occasion, il rapporte que <> (ll. 26-27).

Bien que l’Escrivain crée und image de la Provence comme une région de vancances où il peut oublier ses soucis quotidiens, il rappelle aux problèmes. Par exemple il parle des feux (l.41) et des moutons (l.10) qui menancent la nature et les lieus idyllique.

Résumé de « Les enfants de l’été »

Le roman intitulé « Les enfants de l’été », écrit par Robert Sabatier en 1978, raconte l’histoire de l’écrivain parisien nommé « L’Escrivain » qui passe ses vacances d’été dans la Provence. Un vieil artisan, Siffrein, et sa famille vivent aussi dans cette région.

L’extrait analysé montre une conversation entre les deux artistes et Alain, un enfant. En buvant du vin, l’Escrivain raconte sa journée: il a planté des cyprès, il a lu les journaux, il a fait les courses, il a goûté du vin et finalement il a fait une sieste au-dessous d’un figuier.

Les deux hommes se plaignent dans une manière philosophique de la politique et du manque du respect pour la nature des gens. Notamment, l’Escrivain n’est pas content avec le cours d’événements actuel, parce qu’il préfère une vie alternative comme dans la Provence. Sifrain donne des réponses et des commentaires courts.

Après la conversation, l’Escrivain prise et Siffrain fait une remarque sur la relation du tabac avec les écrivains parisiens. Alain ajoute que l’utilisation du tabac est dangereux pour les bois et l’Ecrivain explique qu’il prise pour éviter des incendies de forêts.

analyse l’image de la Provence

À propos de l’analyse de l’image de la Provence donnée par le protagoniste, on peut constater que c’est une image plutôt idyllique presque exclusivement positive.

Cette image est dessinée par les énumérations des produits culinaires du terroir « un bon canard à Sablet, du jambon et du fricandeau à Malaucène, de l’huile d’olive à Beaume-de-Venise… » (l.21-22). Cette énumération rappelle à l’image présentée dans la chanson « Les marchés de Provence » de Gilbert Bécaud ou la diversité et le choix qu’on peut y trouver est souligné. De plus, le plaisir et le gourmand sont mis en relief : « sa bouche gourmande » (l.1). Un autre aspect supportant cette image est la belle nature en grande partie intouchée : « notre terre est belle et bonne » (l.9). Les viticulteurs qui présentent un partie importante de la Provence sont caractérisés comme conviviaux et généreux : « Les vignerons sont accueillants et ne plaignent pas la rouge boisson. ». Le protagoniste lui-même est présenté comme ayant une bonne connaissance du savoir-vivre et aussi le réaliser: « j’ai fais la sieste sous un figuier » (l.28).

On peut constater alors que la Provence est caractérisée d’un côté comme une région de vacances où l’on peut facilement oublier les soucis du quotidien en s’impliquant à l’aisance qui prédomine là-bas. D’un autre côté comme une région qui souffre des plusieurs problèmes comme des feux à la Lègue et aux hauteurs de Beaumes (l.41). La plantation des arbres sert de mesure pour préserver la nature idyllique. Il y a aussi le stationnement d’une fusée (l.10-11) qui est une menace pour l’idylle. Donc le monde semble de ne pas tourner « tout à fait rond » (l.8).

Pour résumer, l’image dessinée de la Provence est ambivalente.

Caractérisation de l’Escrivan

Dans le texte «  Les Enfants de l’été » de Robert Sabatier il s’agit d’un écrivain parisien qui, passant ses vacances en Provence, converse avec trois amateurs de sa littérature dans leur domaine.

Au début, on peut se rendre compte que l’Escrivain aime bien jouir les produits de la Provence, comme le vin et l’huile d’olive (cf. l.1, ll.21-22).

De plus, on peut constater que l’Escrivain est un homme ouvert et sociable, parce qu’il fait un pèlerinage des vins pendant lequel il rencontre des vignerons « accueillants »(ll.26-27) et y boit un peu trop. Mais malgré sa condition il apporte du vin pour ses hôtes (cf. l.29).

Ensuite, on s’aperçoit de son affinité pour la nature, car il dit que « Notre terre est belle et bonne […] » (l.9) et il plante des cyprès (cf.l.3). En les plantant, il ne se sent plus incapable de participer à la « coulée du temps » (l.13).

Puis, l’Escrivain oppose la nature qu’il déclare comme belle et positive aux hommes destructifs et mauvais. Ce fait devient clair, par exemple, quand il explique qu’a cause du feu il n’utilise que la prise parce que « Cela fend le cœur de voir périr tous ces beaux arbres […] » (ll.41-42).

Par conséquence, on peut conclure une attitude pessimiste de son comportement, à cause des pensées que le monde est mauvais et que l’homme est limité dans son pouvoir.