Archives de l’auteur : Sophie Wehlings-Schmitz

Commentaire <>

Après avoir lu l’article <<Bienvenue à Boboland!>>, publié en 2006, je voudrais laisser une commentaire sûr l’image déformée de Paris.

Au début, le fait que tout les fêtes comme les festivals de la BD, du cirque ou de musique sont une part importante pour les touristes et pour l’image de marque de Paris, est très considérable et n’est pas une gaspillage d’argent.

Puis, je partage l’opinion que le maire veut trouver la meilleure solution avec la construction des pistes cyclables pour les automobolistes et pour les gens qui prennent le vélo, alors il y a moins d’embouteillages et moins de pollution. Le nouveaux pistes cyclables serait une ressource pour obtenir la circulation pour tous les Parisiens.

Je veut ajouter que Paris est connue pour sa diversité et les immigrés ne sont pas exclure de la socitété. Mais le Front National avec son idéologie extremement contre les <<immigrés extra-européens>> et son attitude droite propage la peur contre les minorités.

À la fin, on peut dire que la ville a des problèmes, oui, mais le maire, et n’est pas le FN, veut aider à une amélioration pour tous.

Résumé

L’extrait de la fiction <<Silence, on irradie!>> de Christophe Léon, publiée en 2009, parle de la situation et d’un médecin, Yougor, qui travaille trop après un accident d’une centrale nucléaire.

Au début, Yougor se trouve devant la télé et il voit une émission du journal télévisé du soir. Dans cette émission Yougor apprend qu’il y avait une accident d’une centrale nucléaire près de la ville ou Yougor vive. Le presentateur des nouvelles dit que la raison pour l’accident est un tremblement de terre et que tout est sous contrôle. Après, Yougor doit aller à l’hôpital, ou est le chaos, pour travailler. Puis sept jours il rentre et il est très fatigué. Ce la raison pour laquelle Yougor apprend après huit jours que la dimension de l’accident à la Centrale surpasse des attentes. Ensuite, l’auteur décrit la situation dans l’hôpital, ou la capitale et les médecins militaires prennent la parole. Aussi dans les alentours le militaire fait des changements, les habitants croient: il construit une zone de sécurité de trente kilomètres autour de la centrale et il ferme l’accès des routes. Les habitants seulement apprennent des rumeurs parce que l’armée emprisonne les gens qui disent la vérité par l’incident à la Centrale.

Stratégies: la lettre officielle


L’adresse de l’expediteur

L’adresse du destinataire

Le lieu et le date

L’objet: Demande de renseignements/Commande/Réclamation/Confirmation de réservation

La formule d’appel: Madame (la Directrice), Monsieur (le Président) / Mesdames, Messieurs

La corps de la lettre: En réponse à votre lettre du… / Suite à notre entretien téléphonique du… / Nous avons bien reçu votre lettre du… et vous en remercions. / En me référent à… / Comme convenu par téléphone…

Je me permets de… / Pourriez-vous l’amabilité de… ? / Vous serait-il possible de… ?

Malheureusement, / A mon grand regret, il n’est pas possible de… / Nous vous prions d’excuser…

Vous trouverez ci-joint…

Merci d’avance. / Vous remerciant d’avance, …

Dans l’attante de vous lire, / Espérant en votre réponse,…

La formule de politesse: Veuillez agréer, Mesdames, Messieurs, mes plus sincères salutations. / Recevez, Madame, l’expression des mes sentiments les meilleurs/l’assurance de mes sentiments respecteux.

La signature

La liste des pièces jointes: P.J.: CV / Certificat de…

Analyse des moyens stylistiques <> (personnes)

Dans le texte <<Dans le métro>> de 1998 l’auteure Véronique Olmi utilise beaucoup des moyens stylistiques pour decrire l’ambiance dans les métros français. Elle décrit aussi la relation des personnes qui utilisent les métros journellement.

 

Au début, l’auteure commonce avec une antithèse <<Personne ne se regarde. Tout le monde se voit.>> (l. 1-2). En utilisant cet antithèse, elle veut soulinge que chaque personne se sent seul et que n’importe qui prend le métro ne s’interesse pas pour les autres.

En usant des phrases paratactique, on a l’impression que les personnes dans le métro sont toujours trés stressants et n’ont pas de temps pour quelques conversations (c.f. l. 3-7).

L’enumeration dans le ligne huit de onze (<< entre les banquettes, les portières, les barres de fer, les paquets, les voyageurs, les plastiques, les valises, les paniers …>>) symbolise que le métro est tout le temps trop bondé.

La répétition << Des gens. Assis. Toujours les mêmes.>> (l. 2-3 et 28) met en évidence qu’il y a toujours les personnes mêmes au quotidien.