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l’analyse-l’image der la Provence

Dans l’extrait du roman <> de Robert Schaefer publié en 1978 il y a une image de la Provence qui est très idyllique.

Le protagoniste, l’Escrivain, parle d'<> (ll. 21-22). L’impression der la Provence est soulignée de cette énumération qui fait penser à l’impression donnée dans la chanson <>de Gilbert Bécaud.
En outre, l’auteur décrit la <> (l.1) de l’Escrivain. Alors il y a un mise du gourmand et du délice.
Un autre aspect qui souligne l’image est la nature de la Provence. L’Escrivain dit que <> (l.9), il décrit les plateaus (l.10) et il raconte des plants des vignes. À cette occasion, il rapporte que <> (ll. 26-27).

Bien que l’Escrivain crée und image de la Provence comme une région de vancances où il peut oublier ses soucis quotidiens, il rappelle aux problèmes. Par exemple il parle des feux (l.41) et des moutons (l.10) qui menancent la nature et les lieus idyllique.

Caractérisation de l’Escrivan

Dans le texte «  Les Enfants de l’été » de Robert Sabatier il s’agit d’un écrivain parisien qui, passant ses vacances en Provence, converse avec trois amateurs de sa littérature dans leur domaine.

Au début, on peut se rendre compte que l’Escrivain aime bien jouir les produits de la Provence, comme le vin et l’huile d’olive (cf. l.1, ll.21-22).

De plus, on peut constater que l’Escrivain est un homme ouvert et sociable, parce qu’il fait un pèlerinage des vins pendant lequel il rencontre des vignerons « accueillants »(ll.26-27) et y boit un peu trop. Mais malgré sa condition il apporte du vin pour ses hôtes (cf. l.29).

Ensuite, on s’aperçoit de son affinité pour la nature, car il dit que « Notre terre est belle et bonne […] » (l.9) et il plante des cyprès (cf.l.3). En les plantant, il ne se sent plus incapable de participer à la « coulée du temps » (l.13).

Puis, l’Escrivain oppose la nature qu’il déclare comme belle et positive aux hommes destructifs et mauvais. Ce fait devient clair, par exemple, quand il explique qu’a cause du feu il n’utilise que la prise parce que « Cela fend le cœur de voir périr tous ces beaux arbres […] » (ll.41-42).

Par conséquence, on peut conclure une attitude pessimiste de son comportement, à cause des pensées que le monde est mauvais et que l’homme est limité dans son pouvoir.

 

Commentaire

J’ai lu l’article 《Bienvenue à Boboland!》sur votre site et je me suis étonnée de la façon  dont vous décrivez Paris et les conséquences de la politique du maire Bertrand Delanoë. Je ne partage pas du tout votre opinion.

D’abord, je suis de l’avis que les événements  comme la Gay-pride, la Technoparade ou les festivals sont un aspect nouveau qui attire les touristes et aussi des nouvelles groupes de visiteurs. Ça contribue naturellement aussi à l’économie de la ville. En plus, ces événements montrent que Paris est une ville moderne et ouverte à la culture.

Puis, je voudrais souligner que les immigrés et les étrangers vivant à Paris ne contribuent à une 《transformation radicale de la première ville de France》. Au contraire, notre ville est toujours connue pour sa diversité culturelle et sociale et à mon avis votre façon de décrire la situation et de parler défavorablement des minorités va changer la ville et crée la division et la haine.

Finalement, je veux répéter que Paris est une ville caractérisé par la diversité et la politique de Bertrand Delanoë soutient ce trait de caractère.