Caractérisation de l’Escrivan

Dans le texte «  Les Enfants de l’été » de Robert Sabatier il s’agit d’un écrivain parisien qui, passant ses vacances en Provence, converse avec trois amateurs de sa littérature dans leur domaine.

Au début, on peut se rendre compte que l’Escrivain aime bien jouir les produits de la Provence, comme le vin et l’huile d’olive (cf. l.1, ll.21-22).

De plus, on peut constater que l’Escrivain est un homme ouvert et sociable, parce qu’il fait un pèlerinage des vins pendant lequel il rencontre des vignerons « accueillants »(ll.26-27) et y boit un peu trop. Mais malgré sa condition il apporte du vin pour ses hôtes (cf. l.29).

Ensuite, on s’aperçoit de son affinité pour la nature, car il dit que « Notre terre est belle et bonne […] » (l.9) et il plante des cyprès (cf.l.3). En les plantant, il ne se sent plus incapable de participer à la « coulée du temps » (l.13).

Puis, l’Escrivain oppose la nature qu’il déclare comme belle et positive aux hommes destructifs et mauvais. Ce fait devient clair, par exemple, quand il explique qu’a cause du feu il n’utilise que la prise parce que « Cela fend le cœur de voir périr tous ces beaux arbres […] » (ll.41-42).

Par conséquence, on peut conclure une attitude pessimiste de son comportement, à cause des pensées que le monde est mauvais et que l’homme est limité dans son pouvoir.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


*