Archives de l’auteur : Amélie Zwilling

Caractérisation de l’Escrivan

Dans le texte «  Les Enfants de l’été » de Robert Sabatier il s’agit d’un écrivain parisien qui, passant ses vacances en Provence, converse avec trois amateurs de sa littérature dans leur domaine.

Au début, on peut se rendre compte que l’Escrivain aime bien jouir les produits de la Provence, comme le vin et l’huile d’olive (cf. l.1, ll.21-22).

De plus, on peut constater que l’Escrivain est un homme ouvert et sociable, parce qu’il fait un pèlerinage des vins pendant lequel il rencontre des vignerons « accueillants »(ll.26-27) et y boit un peu trop. Mais malgré sa condition il apporte du vin pour ses hôtes (cf. l.29).

Ensuite, on s’aperçoit de son affinité pour la nature, car il dit que « Notre terre est belle et bonne […] » (l.9) et il plante des cyprès (cf.l.3). En les plantant, il ne se sent plus incapable de participer à la « coulée du temps » (l.13).

Puis, l’Escrivain oppose la nature qu’il déclare comme belle et positive aux hommes destructifs et mauvais. Ce fait devient clair, par exemple, quand il explique qu’a cause du feu il n’utilise que la prise parce que « Cela fend le cœur de voir périr tous ces beaux arbres […] » (ll.41-42).

Par conséquence, on peut conclure une attitude pessimiste de son comportement, à cause des pensées que le monde est mauvais et que l’homme est limité dans son pouvoir.

 

Commentaire: <>

Ayant lu l’article > publié le 09.11.2006 sur votre site internet, je voudrais répondre aux reproches faits contre le maire parisien Delanoë et sa politique.

D’abord, il me semble important de souligner que les événements festifs fréquentes, comme la Gay-pride, Paris-cinéma et tous les autres ne mène pas à cacher les problèmes politiques, mais représentent des attractions importantes pour les touristes et font de la publicité pour la capitale.

De plus, il m’apparaît que ce n’est pas le maire, mais surtout le Front National qui cherche à transformer Paris selon son idéologie. Une attitude radicalement intolérante et droite face aux gens qui vous appelez « la population des aidés et des aisés » a l’intention d’effrayer les gens pour que les minorités soient exclus dans notre société. En me distanciant de cet image négatif de Paris, je mets en évidence que Paris est connu pour sa diversité permettant à chacun de vivre librement.

Ensuite, je voudrais remarquer qu’en construisant les pistes cyclables, on essaie de trouver une solution pour les embouteillages dans et autour de Paris. La circulation est un grand problème duquel on doit s’occuper pour rendre la vie à la cité plus agréable pour tous les Parisiens.

Enfin, je suis d’avis que Paris est présentée d’une manière qui ne correspond pas à la réalité. Il y a tant des actions enrichissantes pour Paris, comme les festivals, l’encouragement de la diversité et la politique des transports améliorant la vie pour les Parisiens qui étaient falsifiées sur votre site.

Résumé <>

Le texte <> du site internet du Front National publié en 2006 est une critique contre le maire parisien et sa politique.

D’abord, on se plaint des nombreux activités festives le maire Bertrand Delanoë initie, comme la Gay-pride ou la campagne contre le SIDA pour cacher les difficultés politiques des partis plutôt gauches. Parmi les problèmes on énumère le travail mal structuré, l’incapacité de résoudre les problèmes actuels comme le logement, le chômage et l’insécurité et la transformation de Paris selon la politique intolérante du maire.

Puis, Delanoë est accusé de ne s’intéresse que pour les Parisiens qui représentent une minorité et ceux qui sont aisés.

Ensuite, l’auteur dit que le maire agit seulement selon les intérêts des immigrants, de la mixité sociale et des bobos, tandis que les familles françaises et les commerçants affrontent des grandes difficultés, par exemple un prix d’immeubles augmentant et la décroissance des affaires.

De plus, on critique les hauts impôts les contribuables payent pour financer des projets qui ne mènent à rien, comme les pistes cyclables. On ajoute, que le manque de parkings dans la ville le rendent difficile aux banlieusards de venir à Paris.

Enfin, l’auteur s’oppose au maire en affirmant qu’il représente seulement ses propres intérêts, par exemple le communautarisme, au lieu de s’engager contre les problèmes de la cité.

Résumé: « Silence, on irradie! » – Christophe Léon

Le texte « SIlence, on irradie! » de Christophe Léon, publié en 2009, traite d’un état qui cache les conséquences graves d’un accident nucléaire.

Au début, le protagoniste Yougor, médecin dans un hôpital, regarde le journal télévisé qui présente un accident nucléaire à la centrale près de sa ville.                                                  
Puis, il repart vite à l’hôpital pour s’occuper des gens impliqués, même si on dit que la situation n’est pas dangereuse. En étant en route, il pense aux cas de cancers, diminués dans les statistiques officielles, qu’il traite.                                                                              
Ensuite, Yougor travaille sept jours sans arrêt pour soigner les victimes de l’accident. Après les sept jours, il n’est plus reporter sur l’incident à la télévision, quand Yougor l’allume.       
Enfin, il y a des rumeurs qu’on établit une zone de sécurité autour de la centrale et que les gens involvés sont déplacés. Par conséquence, l’état met les blessés qui ne gardent pas la silence dans un pénitencier.

Stratégies: Commentaire

  1. dégager les arguments & organiser les arguments selon leur importance
  2. trouver une structure: présenter les arguments pour                                                                                                               présenter les arguments contre (commencer par les arguments forts de l’autre position et trouver une réponse)         
  3. formuler un jugement (qui fait référence aux arguments)

Analyse des moyens stylistiques

Le texte <<Dans le métro>> de Véronique Olmi décrit le métro d’une facon mauvaise en utilisant plusieurs moyens stylistiques.

D’abord on dit <<Le métro est bruyant et muet…>> (l.21), ca veut dire que d’un part il y a un bruit machinal produit par le métro. D’autre part il y a le silence, parce que les gens ne parlent pas. Ce paradoxe met en relief l’isolement et le caractère renfermé des gens, car ils y sont beaucoup, mais au lieu de parler, ils préfèrent rester muet.

Puis, avec la personnification <<Le métro, lui, s’en fout.>> (l.28) le moyen de transport recois une image humain qui correspond au comportement des gens. D’habitude, on devrait s’occuper des autres, mais dans le métro ce n’est pas le cas.

De plus, la phrase <<… râle malade qui s’échappe de sa bouche…>> (l.32) montre aussi un trait de personalité qui signifie que le métro contamine les gens avec cette <<maladie>> qui représente la hâte et l’indifférence des Parisiens.

Enfin, on peut dire que la description du métro ressemble aux comportement des gens qui le utilisent.